J'ai retrouvé cette broderie chez mon père qui était né en 1914.

Par contre, le dernier ancien combattant de 14-18 était en France, l'ultime rescapé parmi les 8,5 millions d'hommes mobilisés en bleu horizon. Le der des der. Lazare PONTICELLI est mort, le mercredi 12 mars 2008, au Kremlin-Bicêtre, à l'âge de 110 ans.

Ce survivant nous reliait physiquement à des photos défraîchies de pioupious en capote, les bandes molletières tire-bouchonnées sur les brodequins, à des images tournées à la manivelle d'hommes hirsutes, le regard vide, enterrés vivants dans les tranchées. Avec sa disparition, la première guerre mondiale s'enfonce un peu plus dans les brumes du passé.

Tant qu'il l'a pu, le vieil homme aura témoigné sur le conflit, encore et encore, même quand ne sortait plus de sa bouche qu'un filet de voix à peine intelligible. Alors que beaucoup de vétérans s'étaient claquemurés dans le silence pour ne pas avoir à raconter l'horreur, Lazare Ponticelli avait choisi de dire l'indicible. Il assumait ce devoir pour ceux qui n'avaient pas eu la chance de s'en tirer.

L’histoire de la création du Bleuet de France débute, au sortir de la Première Guerre mondiale, à l’Institution Nationale des Invalides.

Aux origines du Bleuet de France, deux femmes de leur temps à l’écoute des souffrances de leurs contemporains : Charlotte Malleterre (fille du commandant de l’Hôtel national des Invalides) et Suzanne Leenhardt, toutes deux infirmières au sein de l’Institution et qui souhaitaient venir en aide aux mutilés de la Première Guerre en créant dès 1925 un atelier pour les pensionnaires des Invalides dans lequel ils confectionnaient des fleurs de  Bleuet en tissu pour  reprendre goût à la vie et subvenir en partie à leurs besoins par la vente de ces fleurs.

Grâce à la Maison de la Terre, vous allez découvrir le patrimoine potier, tuilier et briquetier du Roumois : un savoir-faire traditionnel qui conditionna le quotidien de ce territoire et de ses habitants et qui conditionne encore aujourd'hui notre patrimoine architectural.

Une collection unique de 1 500 poteries traditionnelles et populaires permet également de présenter des expositions temporaires sur des thèmes variés : l'art de cuisiner, de recevoir, le bien-être, la décoration, le confort, l'art de vivre dans les régions de France au siècle passé. Mais le présent n'est pas oublié, avec régulièrement les œuvres de céramistes contemporains à découvrir.

Je suis allée visiter la maison de la terre à Bosc-Roger en Roumois (Haute-Normandie - Département de l'Eure). Une animation culturelle Jeunes Seniors de ma ville. Nous étions 12 !

Puis nous avons créer un dessous de plat en forme de feuille de chou. J'ai adoré !

un gros morceau d'argile noir

après avoir étalé l'argile comme une pâte à pizza, je positionne une vraie feuille de chou

j'ai passé le rouleau sur la feuille et voilà ce que çà donne dans l'argile

je l'ai découpée et peint en vert foncé, en vert clair puis je l'ai séchée au sèche-cheveux et disposée sur un endroit afin qu'elle sèche pendant 15 jours. Lors de la cuisson la montée en température est tout d'abord lente, environ 100°C par heure durant 5 heures, pour éliminer progressivement l'eau de constitution de l'argile et éviter l'éclatement des pièces.

Cette première cuisson ou cuisson du biscuit se poursuit ensuite à pleine puissance jusqu'à 900°C ! Ensuite elle sera vernie ...

Le résultat, vous le verrez à la fin du mois de novembre. 

Loin du bruit, vivant ignorée 

Je suis la fleur, chère aux amants 

Et que cueille la bien aimée 

Dans les jours heureux du printemps 

 Ma tige fragile et légère 

Se balance au souffle du vent 

Comme se berce une chimère 

Dans les rêves d'un jeune enfant 

 Mon nom aisément se devine 

Je vis modeste dans les champs 

Mes pétales couleur d'hermine 

Semblent de grands papillons blancs ...

Le 1er octobre 2015, les retraites de base ont été revalorisées de… 0,1%.

Autant dire presque rien. En cause : une inflation quasi nulle.

Fausse joie. Début novembre 2015, les retraités attentifs pourront constater que leur pension a augmenté d’une poignée de centimes.

Attentif ? j'ai reçu un mail  ! Personnellement, je ne pouvais pas la louper !

La hausse décidée au 1er octobre 2015 est en effet très faible: 0,1 %. C’est sans doute pour cette raison que le gouvernement n’a pas communiqué sur le sujet et que l’augmentation a été officialisée par une très discrète circulaire. 

Rectification : Le 9 novembre : j'ai eu en tout et pour tout : 0.90 €.

Ce sont les mères des hiboux

Qui désiraient chercher les poux

De leurs enfants, leurs petits choux,

En les tenant sur les genoux.

Leurs yeux d’or valent des bijoux,

Leur bec est dur comme cailloux,

Ils sont doux comme des joujoux,

Mais aux hiboux point de genoux !

Votre histoire se passait où ?

Chez les Zoulous ? Les Andalous ?

Ou dans la cabane bambou ?

A Moscou ? Ou à Tombouctou ?

En Anjou ou dans le Poitou ?

Au Pérou ou chez les Mandchous ?

"24 heures photo" chez Patricia

Côté rue

Ses feuilles sur l'herbe

Ses feuilles au printemps

 au pied de "mon" marronnier

celui-ci ... que je vois de ma cuisine

 Près du verger des moines chartreux

encore des soucis, des feuilles

 Il aurait eu 20 ans aujourd'hui

et un p'tit clin d'oeil à Khanel

 c'est un mur de la Chartreuse et le toit ... une cellule de moine