• Rendez vous REFLETS du :

    19 avril 2018  

    géré par Annie http://instantsdevie54.canalblog.com

    Reflets à Fécamp

     

    Château de Valanjou, arbres, nuages tout est tombé dans le Layon

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  •  

    rue du Théâtre


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  • Et les géraniums

    Et les géraniums

    Et les géraniums

    Et les géraniums


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  • le 9 février 2018 et ce matin

     toujours pas de soleil !!! regardez la couleur du ciel !

    hier soir ? un fort orage a claqué vers 21 heures ! Désespérant.

     

    c'était le 23 mars 2018

    et hier surprise quand j'ai ôté les bouchons

    et la bouteille !!! 

    il fait treize petits degrés !!!


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  • Je ne pense pas être dans le sujet mais je vous l'offre quand même

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  • Le Radeau de La Méduse est une peinture à l'huile sur toile, réalisée entre 1818 et 1819 par le peintre et lithographe romantique français Théodore Géricault (1791-1824). Son titre initial, donné par Géricault lors de sa première présentation, est Scène d'un naufrage.

    Ce tableau, de très grande dimension (491 cm de hauteur et 716 cm de largeur), représente un épisode tragique de l'histoire de la marine française : le naufrage de la frégate Méduse, qui s'échoue sur un banc de sable au large des côtes de l'actuelle Mauritanie, le 2 juillet 1816. Au moins 147 personnes se maintiennent à la surface de l'eau sur un radeau de fortune et seuls quinze embarquent le 17 juillet à bord de L’Argus, un bateau venu les secourir.

    Cinq personnes meurent peu après leur arrivée à Saint-Louis du Sénégal, après avoir enduré la faim, la déshydratation, la folie et même le cannibalisme. L’événement devient un scandale d'ampleur internationale, en partie car un capitaine français servant la monarchie restaurée depuis peu est jugé responsable du désastre, en raison de son incompétence.

    Le tableau du samedi géré par Lady Marianne

    Le radeau de La Méduse

    Le tableau du samedi géré par Lady Marianne

     

    Il est né à ROUEN en 1791

    mort à Paris en 1824 à l'âge de 32 ans

     

     Peintre, sculpteur, dessinateur, lithographe

     


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  • "24 heures photo" chez Patricia - http://www.chemindetables.over-blog.com


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  • Gerberoy, un des « Plus beaux villages de France », se situe au centre d’un triangle formé par Beauvais, Rouen et Amiens au cœur de la Picardie. Culminant à 188 mètres la commune a reçu en 1202 le titre de « ville » décerné par le roi Philippe Auguste.

    Ses maisons du XVIIe et XVIIIe siècles, en bois et torchis ou briques et silex, font de Gerberoy un lieu de promenade unique. Au printemps et en été, les rosiers grimpants sur les façades transforment la commune en véritable roseraie.

    Et un passé glorieux et millénaire a su donner en héritage à Gerberoy quelques vestiges hors du temps :

    la Collégiale saint-Pierre, construite en 1015, brûlée en 1419, reconstruite de 1451 à 1468, avec son clocher érigé près d'un contre-fort de l'ancien donjon aujourd'hui disparu, ce dernier étant à l'époque la demeure du seigneur de Gerberoy ;

    les ruines de l'ancienne forteresse que le peintre Henri Le Sidaner a transformées en un magnifique jardin visible depuis la promenade des remparts ;

    les remparts, aujourd'hui agréable promenade bordée d'arbres, classée dés 1913 ;

    l'Hôtel de Ville du XVIIIe et le puits de la ville profond de 70 mètres ;

    et les vieilles rues pavées au charme de guingois et vice versa !

    En juillet 2016 ... pas de roses mais en juin 2017 il y en avait partout

    Gerberoy, plusieurs dates pour aller visiter ce village

     

    En 2018... ???

    3 juin

    90e anniversaire de la Fête des Roses

    8, 9 et 10 juin

    12e saison des Moments musicaux Philippe Cassard,

    Anne Gastinel,

    le Quatuor Arod,

    Adam Laloum...

    14 juillet

    Passage du

    Tour de France DANS Gerberoy et feu d'artifice

     


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  • La photo préférée d'Anika

    La photo préférée d'Anika

     


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  • "24 heures photo" chez Patricia 

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    Voilà une semaine, je suis confinée chez moi avec une bronchite et je m'aperçois que le printemps s'installe. Les oiseaux sont très affairés aussi.


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  • Yves KLEIN

    Yves Klein naît le 28 avril 1928 à Nice, de parents tous deux artistes. Son père, Fred Klein, est un peintre figuratif qui expose dès le début des années trente, et sa mère, Marie Raymond, peintre abstrait géométrique, est largement reconnue à partir de 1945. Cet environnement le familiarise très tôt avec le milieu artistique, mais Yves Klein s’oriente tout d’abord vers une autre carrière.

     

    S’il peint spontanément depuis son adolescence, c’est en subordonnant la peinture à d’autres activités. 

    Yves Klein découvre en 1947 la mystique des Rose-Croix. Les monochromes qu’il peint deviennent, pour lui, des objets de culte. Il lit régulièrement la Cosmogonie, texte fondateur de l’ordre de Max Heindel. Cet ouvrage enseigne la connaissance par l’imagination, considérée comme la plus puissante des facultés humaines. Aussi, lorsqu’en 1958, Klein lit L’Air et les Songes, du philosophe Gaston Bachelard, il y décèle un écho à sa propre pensée.

    C’est à partir de 1955 que Klein présente ses travaux dans un cadre artistique : il expose au Club des solitaires de Paris des monochromes de différentes couleurs, sous le titre Yves, peintures. Il y rencontre le critique d’art Pierre Restany avec lequel il collaborera toute sa vie : sa carrière de peintre est lancée.

    En 1957, il entame son "époque bleue", choix de couleur confirmé par son voyage à Assise où il découvre les ciels de Giotto. Il reconnaît en lui le véritable précurseur de la monochromie bleue qu’il pratique : uniforme et spirituelle. Klein met radicalement en œuvre cette monochromie bleue qu’il perçoit chez Giotto, notamment grâce à la texture si particulière de sa peinture qui fait l’objet d’une formule originale, validée en 1960 par l’Institut National de la Propriété industrielle : cette peinture est ce qu’il appelle l’IKB (International Klein Blue). Dès lors artiste de renommée mondiale, il participe à la fondation du Nouveau Réalisme avec notamment Restany et Arman, tout en poursuivant ses recherches personnelles.

     

    Mais les monochromes bleus ne sont qu’un aspect de son travail qui se déploie à travers différentes techniques. A partir de 1960, Klein utilise l’or, le feu, et met en place des œuvres rassemblant une trilogie de couleurs bleue, or et rose. En 1961, il réalise un ex-voto en forme de triptyque qu’il dédie à Sainte Rita ; il organise la même année une exposition en Allemagne, à Krefeld, où il répartit les trois couleurs dans l’espace ; il les utilise pour les faire-part de son mariage avec Rotraut Uecker en janvier 1962 qu’il métamorphose ainsi en œuvre d’art.

     

    Il meurt d’une crise cardiaque en juin 1962.

     


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  • Rendez vous REFLETS du :

    5 avril 2018  

    géré par Annie http://instantsdevie54.canalblog.com

    Reflets du 1er avril géré par Annie

    Mon ombre sur une fontaine de Rouen

     

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