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    Tour de Broue et Brouage

    Près de Marennes.

     

    Les ruines de ce donjon, bâti sur une colline haute de 27 mètres dominant l'ancien golfe de Brouage, sont tout ce qui subsiste d'un puissant château-fort dont les origines remontent au xie siècle.

    À cette époque, les marais ne s'étaient pas encore formés, et l'océan battait les remparts de cet important édifice défensif.

    Broue formait alors un port maritime, une paroisse et une châtellenie, dont l'enrichissement était dû au commerce du sel. Le château était organisé autour d'un corps principal, d'une cour intérieure, d'une chapelle et du donjon proprement dit, qui mesurait alors près de 30 mètres de haut (il ne mesure plus que 25 mètres aujourd'hui), l'ensemble étant clos par une série de remparts, dont il subsiste quelques vestiges. Autour du château existait une petite ville dont il ne reste rien, mis à part quelques pans de murs à demi ruinés.

    Les écuries

    Sur une plaine que le flot recouvrait deux fois par jour, tout près d’un canal qui prolongeait la route de la mer au milieu des marais salants, les navires qui allaient charger le sel (l'or blanc) déposaient sur le bord du canal les cailloux et les graviers de lestage. Peu à peu ces amas s’élevèrent au dessus du niveau des marais. Quelques colonies de matelots, de pêcheurs, de sauniers, vinrent se hasarder sur ces dépôts, qui avaient quatre-vingts pas de longueur. Telle fut l’origine de la ville de Brouage, qui devint dans la suite une des premières places fortes de l’ouest. Charles VIII, qui comprenait l’importance maritime de cette ville assise entre la Charente et la Seudre, voulut la fortifier. La Rochelle s’y opposa par esprit de rivalité (1495).

     

     

    Tour de Broue et Brouage

     

     

     


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  • Visite d'un chai

    Visite d'un chai

    Visite d'un chai

    Visite d'un chai

    Visite d'un chai


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  • Le port de la Cotinière et le Fort Royer

     Le port de la Cotinière (6ième port de pêche français) et le Fort Royer

    Aux premières lueurs du jour, les pêcheurs bateaux de pêche se pressent à l'entrée du port. Un balai de chalutiers, venus recharger leurs poissons au port de La Cotinière sur l'île d'Oléron (Charente-Maritime). En dix ans, ce lieu est passé du quinzième au sixième rang des ports de pêche français. 

    30 millions de chiffre d'affaires à l'année, comment La Cotinière a réussi à talonner les plus grands ports de l'Hexagone ? Une variété de poisson rare et haut de gamme, c'est le secret de la Cotinière.

    Ainsi on y débarque des soles, bars de ligne, langoustines, homards, crevettes et une spécialité locale, un petit poisson plat très apprécié des connaisseurs : les céteaux.

    Au total ce n’est pas moins de 95 espèces différentes qui passent en criée chaque année.

     

    Le port de la Cotinière et le Fort Royer

     

    Le port de la Cotinière et le Fort Royer

    Le port de la Cotinière et le Fort Royer

    Nous avons fait une visite intéressante et ceux qui aimaient les huîtres ont pu en déguster 6 avec un verre de vin blanc


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  • 24 heures photo

    "24 heures photo" chez Patricia 

     

    24 heures photo

    Minette du Village Vacances "Arc en Ciel"


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  • Le tableau du samedi géré par Lady Mariane

    coucher de soleil sur la mer à Dieppe (seine maritime)

    peint par Eugène Delacroix

    Eugène Delacroix est un peintre français né en 1798 à Charenton-Saint-Maurice et mort en 1863 à Paris. Dans la peinture française du XIXᵉ siècle, il est considéré comme le principal représentant du romantisme, dont la vigueur correspond à l'étendue de sa carrière.

    Le tableau du samedi géré par Lady Mariane


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  • Rose demandée par Jean Pierre n°69

    Je ne l'ai pas envoyée à Jean Pierre (j'avais encore la tête en vacances)

    Rose demandée par Jean Pierre n°69


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  • Les cordages utilisés dans les manœuvres de marine sous Louis XIV représentaient une longueur de 100 km environ et un poids de 110 tonnes pour un navire de premier rang et ils étaient fabriqués en chanvre provenant de Riga, alors en Russie ou d'Italie. Il était aussi cultivé en France.

    Après avoir passé dans les mains des espadeurs et des peigneurs, le chanvre était filé pour former le fil de caret, élément principal des cordages. Pour le faire il fallait au moins 1.5 fois les longueurs de cordes d'où la taille impressionnante des corderies, qui pouvait dépasser 300 m de long !

    Les cordiers tordaient ensuite le fil pour former les torons et on recommençait, avec les torons cette fois, jusqu'à obtenir la corde voulue, la longueur diminuant d'autant.

    Ensuite on préparait un bain de goudron de pin pour y tremper les cordes pour en augmenter la solidité et les protéger. Il fallait donc trouver un pré assez grand pour y implanter un bâtiment de plus de 300 m de long et ses annexes.

     

    La corderie royale de Rochefort

    J'ai visité la corderie royale de Rochefort et j'ai aperçu l'Hermione. Mon genou ne m'a pas permis de m'approcher. Il y aura des jours meilleurs.

     

    La corderie royale de Rochefort

     


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  • Rose n° 68 demandée par Jean Pierre.

    Je n'ai que celle-ci ... 


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  • Le 26 septembre 2017, je suis descendue du bateau de croisière pour visiter FUNCHAL, j'ai admiré les jardins, le marché, et j'ai acheté un sachet d'Ipomea rubro coerulea trepadora.

    Ce matin, dans une balconnière, j'ai découvert la première fleur d'ipomée !

     

    La même fleur prise par smartphone

     

    Je suis contente ! L'ipomée de Funchal fleurit

    Je suis contente ! L'ipomée de Funchal fleurit

    Je suis contente ! L'ipomée de Funchal fleurit

    Je suis contente ! L'ipomée de Funchal fleurit

    Je suis contente ! L'ipomée de Funchal fleurit


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    La photo préférée d'Anika

    La photo préférée d'Anika

     

      

    La photo préférée d'AnikaLa photo préférée d'Anika


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  • Les attentats du 11 septembre 2001 sont quatre attentats-suicides perpétrés le même jour aux États-Unis, en moins de deux heures, entre 8 h 14 et 10 h 3, par des membres du réseau djihadiste Al-Qaïda, visant des bâtiments symboliques du nord-est du pays et faisant 2 977 morts.

    Il y a 17 ans !!!

    J'étais au travail, notre chef de bureau nous a appelés pour nous montrer ces tours, je m'en souviens comme hier ... Tout le monde étaient horrifiés. J'ai cru à un film tellement c'était irréel !

    Mais,

    un autre 11 septembre, le mari de ma Zizine, est né

    Je lui souhaite un bon anniversaire, passe une bonne journée R, sois comblé


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  • Je suis revenue samedi soir, j'ai trouvé l'île d'Oléron bien changée ... elle n'est plus sauvage comme en 1980, ni en 2005 ... Il y a des voitures partout, des touristes et des locations aussi !

    Le phare de Chassiron

    Première sortie sous un soleil de plomb !

    La construction du phare de Chassiron commença en 1833 et fut inaugurée le 1er Décembre 1836. Sa hauteur est de 46 mètres au-dessus du sol. Un bel escalier de 224 marches conduit à la lanterne, éclairée par la lumière acétylène à incandescence. Son feu est éclat de 10 en 10 secondes, d’une puissance de 360 000 bougies décimales et d’une portée moyenne de 28 milles. La hauteur du foyer lumineux atteint 43 mètres au-dessus du sol et 50 mètres au-dessus des hautes mers.

    Du haut de ce phare, vous pourrez profiter d’une vue superbe su Oléron, sur l’île de Ré, sur la côte continentale et enfin sur l’océan.

    D’abord peint en blanc, on rajouta à l’actuel phare en 1926, les 3 bandes noires d’une hauteur de 6 mètres qui le caractérisent aujourd’hui, pour le rendre plus visible de jour dans la brume et le différencier de son voisin de l’île de Ré, le phare des Baleines.

    Le phare de Chassiron

     


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