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  • Cinq ans sans lui !

    Cinq ans sans lui !

    Cinq ans sans lui !

    Cinq ans sans lui !

    Cinq ans sans lui !

    Cinq ans sans lui !

     

    Cinq ans sans lui !

    Non, je ne suis pas triste ... Il m'a tellement apporté de bonheur ! 

    Je sais que je ne le remplacerai pas.


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  • ll fit une carrière brillante, connut tous les honneurs, reçut d'incessantes commandes royales et jouit de l'amitié de nombreux amateurs (outre Mme de Pompadour, citons Tessin, ambassadeur de Suède à Paris, le duc de Chevreuse, l'abbé de Saint-Non, le banquier Eberts ou le garde des Joyaux Blondel d'Azaincourt, qui possédait 500 dessins de l'artiste) ; et pourtant, dès 1760, le public du Salon ne se presse plus autour de cet art élégant qui lui semble facile et qui ne l'émeut pas (v. le Salon de Diderot de 1763). Dès lors, la critique boude l'artiste pour un siècle. Au moment où l'impératrice Eugénie réinvente un xviiie s. à son goût, Thoré Bürger et les Goncourt en redécouvrent le peintre le plus représentatif. Une série de livres paraît à la charnière du xixe s. et du xxe s. : Mantz, Michel, Nolhac, Kahn, Fenaille remettent le peintre en honneur et donnent bonne conscience à un public qui l'a toujours apprécié. La monographie de G. Brunel et l'exposition (New York, Detroit, Paris, 1986-1987) ont permis de mesurer l'importance du peintre admiré de Chardin, Oudry et David.

     

    nymphe jouant de la flûte (peintre : François Boucher)


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