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Par milfontaines le 27 Novembre 2013 à 20:57
Dans l'affût, nous les voyons hésiter à partir de leur langue de sable
Un envol ... attention tout le monde va suivre ...
Elles mangent des mollusques, des plantes aquatiques
Elles partent !!! où ?
Nous avons entendu parmi les Krou krou que plusieurs parlaient de vers de terre !
Les voici près de la route qui va à Eclaron-Brancourt-Ste Livière (au pied du rideau d'arbres)
Anne-Marie les a vues à la jumelle !
Elles sont en gagnage ! Maïs à proximité, jeunes pousses et vers de terre
Un peu plus près ...
Elles repartiront vers le Lac à 17 heures.
4 commentaires -
Par milfontaines le 26 Novembre 2013 à 23:28
Nous venons d'arriver ... le lac est sombre, on entend les grues, c'est très impressionnant
il est 8 heures 36 exactement
Elles commencent à partir, tous les petits points sont des grues ... uniquement
Elles volent haut dans le ciel de tous les côtés
Les grues volent pattes tendues et cou également, elles "parlent" tout le temps
des petits cris en avant ... ce sont des petits
Il est 9 heures 07, le spectacle est terminé. Elles reviendront au Lac vers 17 heures
La migration d'automneSelon les conditions météorologiques, une fraction plus ou moins importante des effectifs s'arrête dans le nord-est de la France (Lorraine et surtout Champagne) et dans le sud-ouest (Landes de Gascogne). La lagune espagnole de Gallocanta, dans la province de Saragosse, est la dernière étape avant la dispersion sur les grandes zones d'hivernage du sud-ouest du pays (Estrémadure). A l'exception de quelques milliers qui demeurent en France et d'autant poussant jusqu'au Maroc, la quasi-totalité des oiseaux séjournent tout l'hiver dans la péninsule ibérique.
Plus à l'est, une autre voie migratoire mène les Grues de la Finlande à la Tunisie et à l'Algérie en passant par la grande plaine hongroise.
Dès février, la migration reprend en sens inverse vers les zones de reproduction du nord de l'Europe. Le passage est plus rapide qu'à l'automne et culmine entre fin février et début mars. L'itinéraire est légèrement décalé vers l'est mais les mêmes zones sont utilisées lors des haltes. En Suède, c'est le lac Hornborgasjôn qui devient en avril le principal site de rassemblement avant la dispersion des adultes vers les lieux de nidification. Le spectacle fantastique du ballet des Grues lors de leurs parades nuptiales a rendu Hornborga célèbre dans l'Europe entière.
Le trajet de retour
Localisation des principaux sites français d'hivernageCouloir migratoire
Lors de leur migration, les 250 000 Grues cendrées qui composent la population estimée d'Europe occidentale survolent pour partie la France en empruntant un couloir d'environ 200 km de large, orienté sud-ouest à l'automne et nord-est au printemps. En fonction de la fatigue, de la faim ou du mauvais temps, des haltes ont lieu tout au long du parcours. Mais quelques zones seulement accueillent régulièrement des oiseaux en grand nombre : la Lorraine, la Champagne Humide, le Centre de la France et les Landes de Gascogne. Plusieurs milliers de Grues y passent l'hiver, si la rigueur du froid ne les en chasse pas. Permettant aux oiseaux de satisfaire leurs besoins énergétiques et de récupérer de leur fatigue, ces zones de stationnement sont devenues indispensables au bon déroulement de la migration.
Les haltes migratoires en Champagne Ardenne
Depuis le début des années 80, le lac du Der-Chantecoq est devenu l'un des quatre principaux sites de stationnement d'Europe occidentale.
Depuis la mise en eau en 1974 et le classement en réserve, ces stationnements sont devenus réguliers et concentrent la totalité des oiseaux du secteur. Le pouvoir attractif du lac imprime un resserrement du couloir de migration et invite, selon les années, 30 à 70 % des oiseaux à s'y arrêter. Le choix de cette terre d'accueil s'est effectué en fonction de deux facteurs essentiels à ces grandes migratrices :
- tranquillité sur le lac où elles passent la nuit et dans les plaines proches, où le paysage transformé par l'agriculture moderne offre une visibilité sans obstacle qui satisfait une vigilance de tous les instants,
- abondance de nourriture fournie principalement par les résidus des cultures de maïs.
Dès le mois d'octobre mais surtout en novembre, les Grues s'arrêtent sur le lac.
Après s'être regroupées au cours de l'après-midi, elles regagnent le lac par grandes bandes jusqu'à la tombée de la nuit.
Elles restent quelques jours ou quelques semaines puis reprennent leur route vers le sud.
Toutefois, retenues par une nourriture abondante, plusieurs milliers d'entre elles demeurent ici l'hiver, tant que le gel ou la neige ne les empêche pas de s'alimenter.Au mois de février et mars, le retour des migratrices se concentre en général sur une dizaine de jours. A l'approche de la saison de reproduction, les stationnements sont de courte durée.
Le spectacle est grandiose quand, au petit matin, ces milliers de Grues quittent le lac dans une clameur incessante. Leurs admirateurs, venus de toute l'Europe, n'oublieront jamais ces instants là.
Pour découvrir une page consacrée aux Grues cendrées au lac du Der
Cliquez ici (site de Diane Castanet)
13 commentaires -
Par milfontaines le 25 Novembre 2013 à 18:31
92 adhérents CPN venus de toutes les régions de France, sont venus observer les 32 000 grues du Lac du Der, ce dimanche 24 novembre 2013.
Nous sommes arrivés sur les lieux à 7 heures du matin. Il faisait 6° ... Nous avons entendu les grues, les canards puis un premier envol, un deuxième etc ... Un spectacle superbe, magique, incroyable ! J'ai de merveilleuses images dans la tête pour de longues années !
Puis le soleil s'est levé et toute la journée nous avons cherché des grues posées au sol entrain de se délecter de maïs ou d'herbe.
Les coquines volent très haut ! Elles se posent très loin des routes et mon APN a eu du mal à les capturer mais j'avais d'excellentes jumelles !
Je suis enchantée de mon long week-end, j'y retournerai, peut-être ... mais avec un appareil photo plus performant.
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Par milfontaines le 18 Novembre 2013 à 09:05
Je suis sur ces 2 photos, c'est une chouett'copine qui les a prises
Nous avons vu des fuligules milouin, des fuligules morillon, des cygnes entrain de faire une parade, des foulques macroule, des aigrettes, des vanneaux, des colverts, des cormorans (colonie de 300 nids), des poules d'eau, des hérons cendrés, des grèbes huppées, un martin pêcheur, des mouettes rieuses.
Impossible de prendre en photos, c'était trop loin mais avec les jumelles c'était super ! Dès qu'il gèlera, il y aura 250 espèces différentes qui passeront un moment sur le lac ou voleront au-dessus avant d'aller plus loin.
Côte des Deux-Amants, au confluent de la Seine et de l'Andelle (Eure), tire son nom, selon la tradition, de ce que deux amants, contrariés dans leur projet d'union, se donnèrent la mort en se précipitant de son sommet.
Une autre version de l'histoire est que le soupirant fut obligé par un gage de monter cette côte très raide qui s'élève en ligne droite sur plus de cent mètres, en portant sa belle dans ses bras. Arrivé en haut, il expira. De dépit, la jeune fille se tua en se jetant dans le vide.
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Par milfontaines le 11 Novembre 2013 à 18:01
Ce matin, j'ai reçu ceci (par mail) :
Le 1er novembre, le Ministère de l’Écologie a annoncé qu’il n’accorderait pas, cette année, de dérogation pour la chasse au pinson dans les Landes, Une chasse totalement illégale, l’espèce étant protégée depuis 1976. Pour la LPO, après bien des années de lutte pour obtenir l’application de la loi, c’est une première victoire !
Je me suis demandée ce que les gens pouvaient faire avec de si petites bestioles ? et vous le savez-vous ?
Quand je l'ai su, j'étais scandalisée !
voici le bruant ortolan chassé avec une matole !
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Par milfontaines le 22 Octobre 2013 à 10:00
Un monsieur et des enfants ont construit des nichoirs (à moineaux) et des mangeoires.
mais la nature offre des baies aux oiseaux comme le cotonéaster
ou ses fleurs comme le lierre fleuri
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Par milfontaines le 10 Octobre 2013 à 22:45
Quand je reviens à la maison, j'ai toujours quelques graines de tournesol au fond de ma poche et le moineau en profite !
J'aime ces deux photos prises en bas de ma porte fenêtre ! On pourrait penser à un cadre ...
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Par milfontaines le 26 Août 2013 à 09:00
Nous revenions de la corniche. Il faisait très chaud et comme le pinson nous
avions soif alors on s'est installé sur une table mais le petit zoziau était là aussi ...
Joli pinson prend ton temps ... nous sommes en vacances
La Loire à Chalonnes-sur-Loire (49)
Le Layon
Au cœur de l'Anjou (ouest de la France), à la limite du pays des Mauges, Chalonnes-sur-Loire se situe à 20 km à l'Ouest d'Angers et à 61 km à l'Est de Nantes. Son territoire s'étend aux pieds des coteaux, le long de la rive gauche de la Loire, sous la confluence du Layon et du Louet.
La commune se trouve dans le Val de Loire, tel qu'inscrit en 2000 sur la liste du patrimoine mondial de l’UNESCO. L'inscription concerne le périmètre situé entre les deux coteaux le bordant de Sully-sur-Loire (45) à Chalonnes-sur-Loire (49) sur une longueur de 280 km et plus de 853 km2.
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Par milfontaines le 22 Août 2013 à 08:45
Oui, c'est moi bien dodu ! mais non je ne suis pas un cygne ni une oie !
Une histoire de canard ... je les aime, il devait le savoir ! De bon matin, j'avais décidé de faire des photos "reflets sur l'étang" et il est venu me faire la conversation, il a fait sa star, il était trop drôle. Blanc avec de grosses pattes oranges, il avait une tâche noire sur la tête. Il venait en nageant ou en volant. Je l'ai surnommé "platplat" c'est ainsi qu'Ambre nommait les canards quand elle avait 3 ans.
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