• Toi ,petite coccinelle,
    Tu es si belle,
    Avec ton amie l'abeille
    Vous prenez votre envol
    Pour faire une belle farandole
    Vous volez de fleurs en fleurs
    S ans jamais avoir peur
    Toute la journée vous jouez
    Et quand vient l'heure de rentrer
    Toutes tristes vous vous quittez
    En vous promettant demain
    La même journée.

     

     


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  • C'est un petit garçon de 7 ans : Tom qui me l'a indiqué ... nous l'avons observé, il chauffait ses ailes au soleil puis j'ai pris la photo.

    Premier papillon : un paon du jour


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  • Les gendarmes sont de sortie !

    L'arbre est un tilleul

    Les gendarmes sont de sortie !

    Gare aux PV ... Bon dimanche malgré tout

    Les gendarmes sont de sortie ! de Lydie


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  • Avant j'avais un balcon oui mais c'était avant ... Des amies me demandent pourquoi je mets toujours des jardinières sur ma porte fenêtre de 2 mètres de long sur 0.33 m de large. A votre avis ? pour avoir des fleurs, des plantes aromatiques, des oiseaux, des insectes à observer !

    et je vais pouvoir mettre des fleurs aussi à la fenêtre de ma chambre, à celle de mon bureau !!!

    Une visite ce matin lors de mon p'tit déjeuner


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    Un toit pour les abeilles sauvages

    Un toit pour les abeilles sauvages

     

    Un toit pour les abeilles sauvages

    celui d'un autre club CPN de Haute-Normandie

    Un toit pour les abeilles sauvages

    celui de REPAINVILLE (près de Rouen)

    Un toit pour les abeilles sauvages

    celui de l'abbaye St Georges de Boscherville (Seine Maritime)

    j'ai déjà présenté le recto

    Un toit pour les abeilles sauvages

    Celui de mon balcon

    Un toit pour les abeilles sauvages

    Celui de Notre Dame de Blicquetuit (Seine-Maritime)

    Un toit pour les abeilles sauvages

    celui du chouett'club CPN (Seine Maritime)

    Les abeilles sauvages sont les reines de la pollinisation. On sait aujourd’hui qu’elles fécondent près de 70% des plantes à fleurs, et sont indispensables à la production d’innombrables cultures agricoles. Ce service naturel, vital pour notre avenir, est menacé. Aidez les abeilles de votre jardin ! 

    A part l’abeille domestique et les bourdons, la plupart des abeilles sauvages sont invisibles pour les non-spécialistes. 900 espèces recensées en France, elles ne sont pas dangereuses pour l'homme, certaines ne possèdent pas de dard.

    Elles ne vivent pas en essaim ; elles ne produisent pas de miel en rayons ; elles n’ont pas de ruche… mais aménagent des sortes de nids dans le sol, dans les trous des murs, dans les tiges séchées et les brindilles creuses – voire même, dans une coquille d’escargot… Comment aider les abeilles sauvages dans votre jardin ?

    1- Augmenter les sources de nectar et de pollen – plantez des fleurs natives, des herbes et des variétés traditionnelles.

    2- Ne stérilisez pas votre jardin : laissez un coin du jardin sauvage ; retardez le moment où vous allez tondre votre pelouse au printemps, pour leur laisser savourer les fleurs de trèfles, les boutons d’or, et toute les petites fleurs qui poussent en abondance d’un bout à l’autre du pays. La floraison des mauvaises herbes, avant l’ouverture des arbres fruitiers, est une précieuse source de nourriture pour elles ; ensemencez des fleurs sauvages.

    3- Réduire ou éviter l’utilisation des pesticides (insecticides, herbicides et fongicides) autour des plantes en floraison.

    Et donnez un toit aux abeilles solitaires « hors-sol » ! Proposez un habitat qui leur convienne pour les encourager à s’y installer et à y faire leur nid.

     

     


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  • Une chenille oursonne dans un champ de roses à Doué-la-Fontaine (dépt 49)

    Un papillon de nuit "écaille cramoisi" faisant le mort sur la terrasse (dépt 49)

    Un amaryllis ? sur la haie bordant le jardin (Maine-et-Loire)


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    Comme un petit avion,

    je suis prêt pour l'envol !

    Comme un petit avion,

    je me tourne encore une fois et ce sera bon ...

    Comme un petit avion,

    j'ai une patte engourdie !

    Comme un petit avion,

    waou, c'est haut et mes ailes ne sont pas sèches !

    Hier, je me suis posée la question ... est-ce que je pourrais mettre des fleurs ici vu que le rebord est plus large qu'avant ! Ce matin, en ouvrant mes volets j'ai vu une bestiole qui s'y reposait ! Sans y toucher, je l'ai observée : c'était un insecte, un peu abasourdi. J'ai compté les pattes, elle les avaient toutes, elle les a levées une à une, déplier ses ailes doucement, levé son derrière ...

    c'était drôle à observer ! puis elle s'est tourné et a recommencé à déplier ses ailes, un peu plus ouvertes cette fois, elle a relevé à nouveau son derrière roux, a frotté son nez ...

    puis elle s'est tournée à nouveau, s'est mise au bord extrême, s'est immobilisée, elle humait l'air je pense ... et s'est envolée dans le ciel bleu vers le marronnier.

    Elle m'a fait penser à un petit avion de montagne, qui se tourne vers la piste et plonge dans la vallée ...

     


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  • Le papillon citron

    la Corête du Japon

    Depuis quelques jours j'admire un arbuste qui est couvert de fleurs jaune or ! Que des pompons mais il y en a tant que l'arbuste photographié fait un fouillis de fleurs.

    Vous me croirez si vous voulez, j'ai vu un papillon posé sur une fleur ! Non je n'ai pas rêvé ! c'était un beau papillon ... jaune.

    J'ai recherché sur Mme Internet et j'ai trouvé deux photos qui m'ont plu ! Celle du papillon venait d'un blog : 365photo.over-blog.com et çà m'a fait sourire ET désormais je connais le nom de l'arbuste.

    *Gâtée j'ai été!*

    Pour la peine, je vais vous raconter l'histoire du citron ... "dans la famille lépidoptères", moi le citron, je suis un drôle de phénomène ! Les petits camarades papillons qui n'appartiennent pas à mon espèce meurent généralement à l'automne, laissant des oeufs ou des chrysalides qui les remplaceront au retour des beaux jours. J'ai aussi quelques cousins comme le vulcain qui passent l'hiver à l'état adulte mais prennent le soin de se mettre à l'abri du froid dans un trou, un grenier, une vieille cabane où ils s'endorment jusqu'au mois d'avril. Ce sont des frileux ; pas moi !

    En octobre, je me suspends à une touffe d'herbe ou à un feuillage de lierre et j'attends. Parfois, la neige me recouvre entièrement et celà ne me fait ni chaud ... ni froid ! Mon corps contient un produit antigel et je supporte des températures de moins 20°.

    Je me paie même le luxe de voleter en plein mois de janvier si le soleil réchauffe mes ailes au dessus d'un arbuste "pompons jaunes" et les photographes enragent de me prendre sur le vif !

     


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  • Visiteuse d'une rose

     

    Merci de votre visite

    Pour me faire pardonner d'avoir changé, encore, ma présentation. Je cherche une couleur qui puisse mettre en valeur mes photos sans agresser l'oeil du visiteur.

    Les couleurs bariolées n'étaient pas de mon goût. La chapelle St Julien et ses trois trembles ainsi que le lin représentent bien la nature dans toute sa splendeur d'une retraitée vivant en Haute Normandie.


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  • La bataille qui a lieu en ce moment au niveau européen peut être déterminante pour la survie des abeilles – et notre avenir à tous.
    Les lobbys agrochimistes sont sur le point d'imposer trois types de pesticides néonicotinoïdes notoirement dangereux pour les abeilles dans tous les pays européens. La seule façon de leur barrer la route, c’est que des centaines de milliers de citoyens se mobilisent à travers toute l’Europe pour obliger les députés européens à intervenir.
    Aidez-nous à sauver les abeilles ! Signez dès maintenant la pétition aux députés européens.
    C’est le dernier round d’un combat mené au corps à corps depuis l’été dernier, rappelez-vous :
    Après plusieurs études qui, coup sur coup, ont montré les ravages de certains pesticides neurotoxiques (les néonicotinoïdes) sur les abeilles, et le retrait de la vente d’un de ces pesticides – le Cruiser OSR - en France par le Ministre de l’Agriculture, la Commission Européenne a demandé à son autorité sanitaire (l’EFSA) de réévaluer la dangerosité de ces substances. Et plus particulièrement celle du Thiametoxam, de l’Imidaclopride et de la Clothianidine, trois types de néonicotinoïdes responsables à eux seuls de la mort de millions d’abeilles chaque année en Europe.
     

    Seulement voilà :

    Les lobbys agrochimistes ont toutes les chances de gagner la bataille. Pourquoi ?
    Parce que ce sont EUX-MÊMES qui sont chargés d’évaluer la dangerosité de leurs produits !

    Incroyable, mais vrai… Les autorités sanitaires européennes chargées de garantir notre sécurité alimentaire sont composées de technocrates, pas de scientifiques. Personne, dans les institutions européennes, n’est capable de mener les tests scientifiques nécessaires pour évaluer la dangerosité d’un pesticide sur les abeilles. En clair, ce sont les fabricants de pesticides eux-mêmes qui évaluent la dangerosité de leurs produits. Et vu le chiffre d'affaires phénoménal qu'ils tirent de ces pesticides, on ne peut pas s'attendre à ce qu'ils les interdisent !
    Résultat : les autorités sanitaires délèguent ce travail à un groupe « informel » d’experts, l’ICPBR (International Commission on Plant-Bee Relationships)… qui, lui, est composé aux deux tiers par des membres de l’industrie agrochimique !
    Notre seule façon d’agir, en tant que citoyens, c’est de dénoncer ce scandale haut et fort, et d'exercer une pression maximale sur les députés européens pour qu’ils interviennent avant que les agrochimistes aient eux-mêmes déclaré leurs produits « inoffensifs ».
    Le temps presse : le verdict doit être rendu en décembre. Il n’y a pas une minute à perdre : s’il vous plait, signez vite cette pétition, et faites-la suivre à tous vos amis.


    J'ai bien sûr signé cette pétition. Ceux qui voudront faire de même seront les bienvenus !
    Il vous suffit de cliquer sur le lien suivant :

    SIGNER  LA  PETITION

     

     


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  • Les cirses sont des plantes herbacées, bisannuelles ou vivaces, appartenant à la famille des Astéracées (ou Composées) et au genre Cirsium. Très proches des chardons (genre Carduus), avec lesquels ils sont fréquemment confondus, ils s'en distinguent essentiellement par les aigrettes de leurs fruits, appelées aussi pappus : les chardons ont un pappus formé de poils simples ou denticulés, tandis que les cirses ont un pappus de poils plumeux. Pour le reste, il y a entre les deux genres beaucoup plus de ressemblances que de différences : tiges souvent ailées, feuilles épineuses, fleurs tubulées (le plus souvent dans les teintes roses) groupées en capitules, présence d'écailles ou de touffes de poils entre les fleurs, bractées épineuses.


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  • Abeille au travail,

    Abeille au travail,

     

     

    Un ciel bleu, bleu ! Il est rarement comme çà en Normandie mais il fait chaud !

    Je suis allée chez le coiffeur ce matin et suis retournée à la supérette ... La vie continue.


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