• Dans le prolongement du village de Kerhinet, adorable petit hameau en bordure du marais de Grande Brière Mottière.

    Un canal construit en 1935 le relie à Rozé, son vis-à-vis.

    C'est un point de départ pour la découverte du marais. Sur le port de Breca, vous pourrez vous promener soit en calèches soit en chalands à travers les marais de la Brière. Un lieu magique et vraiment très dépaysant à l'écoute de la nature.

    Breca

    Breca

    Le dernier affluent de la Loire : Le Brivet


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  • Cathédrale Saint Pierre de Beauvais

     

    La cathédrale Saint-Pierre de Beauvais est une cathédrale catholique située à Beauvais, dans le département français de l'Oise en région Hauts-de-France. Elle possède le plus haut chœur au monde. De 1569 à 1573 la cathédrale est avec sa tour de 153 mètres la plus haute construction humaine du monde.

     

     

     

    La cathédrale Saint-Pierre de Beauvais possède une horloge astronomique de 12 m de haut. Un chef-d'œuvre de précision, une pièce unique et très originale en son genre : composée de 90 000 pièces, elle ne comporte pas moins de 52 cadrans et 68 personnages statiques ou animées. Cette horloge, conçue entre 1865 et 1868, est l'œuvre magistrale d'un horloger beauvaisien Auguste-Lucien Vérité. Découverte de cette horloge avec Marina Klimm : cadrans, personnages dans la cité céleste et la cité terrestre.


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  • La photo préférée d'Anika de Normandie

    La photo préférée d'Anika de Normandie

     


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  • 4 buts à 2

    Mandzukic (contre son camp)

    Antoine Griezmann

    Paul Pogba

    Kylian Mbappé

     

    Ils ont gagné !


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    Né à Paris, le 16 juin 1925, d’une famille de conseillers d’État, de contrôleurs généraux des finances, d’ambassadeurs de France et de parlementaires, parmi lesquels un chancelier de France et un député à la Convention nationale.

     

    Ancien élève de l’École normale supérieure. Agrégé de philosophie.

     

    Études, voyages, amours. Essais et erreurs. Travaux et postes divers. Académies et distinctions.

     

    Grand prix du roman de l’Académie française pour La Gloire de l‘Empire, 1971.

     

    Directeur général du Figaro (1974-1977).

     

    Secrétaire général, puis Président du Conseil international de la philosophie et des sciences humaines à l’UNESCO.

     

    Élu à l‘Académie française, le 18 octobre 1973, au fauteuil de Jules Romains (12e fauteuil).


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  • Lors de mes vacances sur la mer ... j'ai lu

     

    Jamais Etienne et Mélina n'auraient imaginé devoir un jour quitter les berges de la Garonne, les champs et les prairies, les vignes du coteau qu'ils escaladent pour se rendre à l'école du village et pourtant ...

    J'ai beaucoup aimé et vous recommande ce livre.

    J'en ai commencé un autre : "au coeur des forêts" du même auteur


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    Je pense à vous ...


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  • Histoire du radeau de la Méduse

    Le Musée national de la Marine de Rochefort (Charente-Maritime), qui abrite dans sa cour une réplique grandeur nature du fameux « Radeau de La Méduse », commémore tout l'été le bicentenaire de la tragique épopée des 150 naufragés, dont seulement 15 survécurent. C'est de l'île d'Aix, voisine de Rochefort, que La Méduse a appareillé, le 17 juin 1816, vers Saint-Louis, au Sénégal, afin d'y acheminer le nouveau gouverneur et les fonctionnaires nécessaires à la colonie, que l'Angleterre vient de restituer à la France après la restauration de la monarchie.

    La Méduse quitte la rade d'Aix, accompagnée de trois autres bâtiments français, une flottille commandée par Hugues Duroy de Chaumareys, noble émigré à la Révolution qui n'a pas navigué depuis 28 ans et qui doit sa nomination au retour de la monarchie. Mais, six jours après le départ, Chaumareys décide de ne pas attendre les autres navires et La Méduse fait voile seule en direction du Sénégal. Vraisemblablement à cause d'une erreur de navigation, la frégate s'échoue le 2 juillet sur le banc de sable d'Arguin, au large des côtes de l'actuelle Mauritanie.

    Dès le lendemain, la construction d'un radeau débute et le 5 juillet, le navire est abandonné : 230 personnes, dont Chaumareys et le gouverneur du Sénégal, prennent place dans les canots du bord.

    150 autres passagers, majoritairement des soldats, sont entassés sur le radeau qui s'enfonce de près d'un mètre dans l'eau. Il est remorqué par les canots. Rapidement, la remorque est coupée et le radeau livré à lui-même, avec, en tout et pour tout, deux barriques d'eau et cinq de vin. La nuit suivante, vingt hommes meurent, les jambes brisées par les planches du radeau ou emportés par les vagues. Des soldats décident alors d'en finir, s'enivrent et commencent à détruire leur embarcation de fortune. S'ensuivent de violents combats à coups de sabre, qui font 65 morts et de nombreux blessés.

    Le 7 juillet, les premiers actes d'anthropophagie surviennent, certains rescapés découpant et dévorant les cadavres restés sur le radeau. Tempête, privations, nouveaux combats... le nombre des naufragés se réduit au fil des jours, blessés et malades étant jetés à l'eau pour économiser le peu de vin restant. Le salut n'arrivera que le 17 juillet, deux semaines après le naufrage, lorsqu'un des navires partis de France avec La Méduse aperçoit le radeau : seuls 15 naufragés sont encore en vie. Le capitaine condamné Le scandale aurait pu être étouffé sans le rapport d'un rescapé, Jean-Baptiste Savigny, le chirurgien du bord, rédigé pour le ministre de la Marine. Un rapport détourné par le ministre de la Police qui le fait publier dans le journal pour nuire à son collègue de la Marine. En mars 1817, le capitaine de frégate Chaumareys sera jugé et condamné à trois ans de prison.

    Dans la foulée du procès, le récit du naufrage est publié et connaît un vif succès d'édition. Cette histoire extraordinaire fascina le peintre Théodore Géricault, qui rencontra des survivants de La Méduse et construisit un modèle réduit détaillé du radeau pour réaliser son tableau aux proportions monumentales : cinq mètres sur sept. Celui-ci fit sensation lorsqu'il fut présenté en août 1819 au Salon de peinture de Paris. L'oeuvre est aujourd'hui exposée au Musée du Louvre.


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  • Née le 29 février 1920, elle est décédée le 20 décembre 2016.

    Au sommet de sa gloire, elle incarne la femme française distinguée, le contraire d'une scandaleuse, dans laquelle un large public féminin se retrouvait. 

    Je l'ai beaucoup aimée dans ce film, aux côtés de Gérard Philippe

    Michèle Morgan

     


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    Ce qui s'est passé à Saint-Etienne-du-Rouvray me semble toujours irréel et pourtant ...

    15 août 2016

    Bonne fête aux Marie, Myriam, Maryse, Marlise, Mariannick, Muriel, Marion, Marielle, Macha, Magali, Milène, Marilyne, Marjolaine, Marlène, Mireille

    et aussi à Marie-Ange, Marie-Noëlle, Marie-Laurence que je connais bien !


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  • Nice le 14 juillet 2016 : 84 morts et 50 personnes en urgence absolue !


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  • Je pars en voyage organisé en ... Bretagne

    J'ai programmé quelques billets pour vous faire patienter

     


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