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Par milfontaines le 5 Septembre 2016 à 08:14
Il fait partie d'un vaste programme d'aménagements de la vallée de la Vilaine, décidé dans les années 60 en vue de faciliter le développement économique de la région.
Construit en 1970 à l'embouchure de la Vilaine, le barrage d'Arzal vient bloquer la marée qui remontait auparavant jusqu'à Redon. En période de vives-eaux, la marée venait contrarier l'écoulement des crues, provoquant des inondations à répétition de la vallée.
Le Barrage a permis de réduire notablement les risques de débordement, même si la région reste toujours sensible aux grandes crues de la Vilaine qui draine, rappelons-le, une superficie équivalente au tiers de la Bretagne.
Long d'environ 500 m, le barrage est constitué d'une digue (côté Camoël) et de cinq portes. Il est doté d'une écluse qui permet la navigation entre le fleuve et l'océan. Un port de plaisance et une usine de traitement de l'eau potable ont également été aménagés à proximité.
Pas de PC samedi, Orange faisait des améliorations ... Reprise hier vers 15 heures.
Temps gris à souhait, pluie la nuit ! Mais demain ... il fera beau !
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Par milfontaines le 4 Septembre 2016 à 19:00
Le château de Suscinio, construit à la fin du Moyen Âge (au xiiie et dans la seconde moitié du xive siècle), résidence des ducs de Bretagne, est situé au bord de Mor braz (océan Atlantique) dans la commune de Sarzeau (Morbihan).
Le château est classé monument historique en 1840, alors qu'il était en ruines.
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Conçu comme le centre de la gestion d'un domaine agricole, entre une forêt giboyeuse et le bord de mer, le château sera fortifié progressivement.
Le premier logis, un manoir pour la chasse, est bâti pour le duc de Bretagne Pierre de Dreux, en 1218.
En 1229, son fils, Jean Ier le Roux poursuit la construction du château, et fait clôturer une bonne partie de la forêt de Rhuys qui deviendra des parcs de chasse.
omaine et du château entraînera petit à petit la disparition du Prieuré de Saint-Pabu et la fondation de l'Abbaye de Prières, situé non loin de là à titre de pénitence.
Le château est agrandi à la fin du xive siècle. Les ducs Jean IV et Jean V entreprennent des travaux de consolidation et la construction d'une nouvelle tour. Au xve siècle une casemate est aménagée pour abriter des pièces d'artillerie. Ensuite le château est progressivement abandonné puis devient propriété de la couronne de France sous François Ier (1515-1547) qui le donnera un temps à l'une de ses maîtresses.
En 1798, le château — déjà très dégradé — est vendu pour cinq mille francs comme bien national à un marchand qui l'exploite comme carrière de pierres à bâtir.
Acheté en 1852 par le vicomte Jules de Francheville, sa famille fait tout son possible pour sauver l'existant jusqu'au rachat en 1965 par le conseil général du Morbihan qui entreprend sa restauration.
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Par milfontaines le 28 Juillet 2016 à 08:33
Ce n'est pas l'église Saint Etienne où j'ai été baptisée ... dans la ville où je suis née.
Ce n'est pas ici que le Père Jacques a été égorgé, pas ici non plus où la Soeur Danielle a été traumatisée, je les connais bien, çà met très mal à l'aise de savoir çà, un mardi matin sur son téléphone. L'horreur est aux pieds de ma porte. Un peu plus de 10 kilomètres ...
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Par milfontaines le 19 Juillet 2016 à 08:17
Devant l'entrée du gîte
la cuisine
la salle à manger avec table pour 6 personnes et un canapé-lit
Le salon de jardin
L'Océan à 300 mètres
Les chatons
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Par milfontaines le 16 Juillet 2016 à 16:17
En quête d'un site défensif, le viking Bern-Hart établit son donjon vers l'an mil sur le promontoire rocheux qui domine la Vilaine. La Roche-Bernard est créée. L'activité portuaire se développe et devient florissante avec le commerce du sel et l'arsenal d'où est lancé le premier vaisseau à 3 ponts, en 1635. La capitainerie, des entrepôts et greniers à sel témoignent de cette prospérité. Après la construction du barrage d'Arzal, le port s'est reconverti pour accueillir les bateaux de plaisance.
Evelyne ma copine de voyage
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Par milfontaines le 12 Juillet 2016 à 08:16
Au coeur des marais salants de Guérande, Philippe Constant, paludier, récolte la fleur de sel.
Cette fragile pellicule de cristaux se forme à la surface des oeillets sous l'action du soleil et du vent.
La fleur de sel est ensuite naturellement égouttée et triée à la main.
La saveur délicate et parfumée de cette fleur de sel est reconnue par tous les gastronomes
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Par milfontaines le 11 Juillet 2016 à 12:05
250 g de farine
200 g de beurre
200 g de sucre en poudre
10 g de levure fraîche
10 cl d' eau
2 pincées de sel
Pensez tout d’abord à sortir le beurre demi-sel ou salé du réfrigérateur afin qu’il ramollisse.
Commencez par réaliser la pâte du kouign-amann : mélangez la levure de boulanger fraîche (surtout pas de la levure chimique) et 3 cuillères à soupe d’eau tiède non brûlante dans une tasse, puis, dans un saladier, mélangez la farine de blé et ajoutez 2 pincées de sel (attention, le sel et la levure boulangère ne doivent pas être en contact, ceci risquerait de tuer la levure et empêcher votre pâte de gonfler).
Formez un puits et versez-y votre mélange de levure et 10 cl d’eau.
Farinez votre plan de travail et travaillez votre pâte à kouign-amann jusqu’à l’obtention d’une pâte souple.
Laissez la pâte reposer en boule dans le saladier à température ambiante pendant 3 h.
Au bout des 3 heures de repos, la pâte aura triplé de volume : sur votre plan de travail fariné, à l'aide d'un rouleau à pâtisserie, abaissez-la pâte et donnez lui une forme carrée d'environ 1 cm de hauteur : étalez le beurre demi-sel bien mou au pinceau et saupoudrez de sucre en poudre. Prenez soin de ne pas étaler le beurre et le sucre sur les rebords de la pâte et de laisser un espace de 3 cm environ tout autour.
Repliez la pâte à kouign-amann en 3, à la manière d'une pâte feuilletée, de façon à bien "emprisonner" le beurre et le sucre.
Avec votre rouleau à pâtisserie, étalez la pâte finement et très délicatement en faisant attention à ce que le beurre ne ressorte pas.
Repliez la pâte encore une fois en 3 puis abaissez-la de manière à lui donner un forme circulaire.
Mettez votre pâte dans un moule beurré et laissez la reposer pendant une demi-heure.
Préchauffez le four thermostat 7 (210°).
Puis, faites cuire le kouign-amann pendant 35 mn environ : au bout de 10 mn, versez un peu de beurre de cuisson sur le kouign-amann et ce toutes les 5 mn.
Une fois votre kouign-amann cuit, sortez-le du four et patientez un quart d’heure avant de procéder au démoulage.
J'en ai acheté un mais je n'ai pas retrouvé le goût de mon enfance !
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Par milfontaines le 11 Juillet 2016 à 08:26
Eglise édifiée de 1766 à 1787 sur les bases de 4 anciennes églises.
Elle possède une nef unique, 2 chapelles latérales et un choeur en cul de four. Son porche carré est surmonté d'un dôme impérial et son clocher sert d'amer aux navigateurs.
La charpente en pin est en forme de coque de bateau renversé.
Je m'attendais à un intérieur sombre or, c'est tout le contraire
L'église Saint Pierre-es-liens (44)
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Par milfontaines le 10 Juillet 2016 à 17:50
Ancien sardinier à la bolinche.
La bolinche ou senne tournante est une technique de pêche consistant à encercler le plus rapidement possible des bancs de poissons pélagiques* à l’aide d’un grand filet rectangulaire.
Le poisson est ensuite chargé vivant à bord, au moyen d’une grande épuisette appelée salabarde, et stocké dans des cuves réfrigérées.
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Par milfontaines le 8 Juillet 2016 à 07:42
Ce moulin est de type "petit pied" car sa base est moins large que le haut. C'est une forme typique des moulins du sud Bretagne. On en trouve encore quelques uns en presqu'ile guérandaise comme ici, il est en granit, il fait de la bonne farine de sarrasin.
La mairie du Croisic
La criée au poisson résulte d’une délibération du conseil municipal du 17 mai 1877, qui approuve la construction d’un marché couvert pour la vente aux enchères du poisson frais, place de la Motte, transformée de 2006 à 2008 en salle d’exposition sur l’actuelle place Boston. Une nouvelle criée a été construite en remplacement de la première construction.
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Par milfontaines le 7 Juillet 2016 à 21:28
La pêche est une activité phare de la Presqu’île de Guérande… 48 chalutiers pélagiques sont aujourd’hui en activité au Port de La Turballe, et c’est aussi le 11ème port de pêche français en valeur et le 8ème en tonnage.
La Turballe est spécialisée dans la capture de l’anchois avec des prises atteignant plus de 2 000 tonnes et de la sardine. Le bar de chalut, le thon et le merlu font aussi partie des espèces pêchées. Vivez un moment unique au petit matin quand les chalutiers reviennent de la pêche et venez découvrir au plus près les espèces capturées à la criée. Pour en savoir plus sur l’activité de la pêche, 2 sites à découvrir sur la Turballe :
- Le Sardinier Au Gré des Vents - Construit en 1964, le sardinier " Au Gré des Vents " est devenu la mémoire vivante de la pêche à La Turballe. Ce bateau de 24 tonneaux a pratiqué la pêche jusqu’en 1992. Sauvé de la destruction, par quelques passionnés du patrimoine, "Au Gré des Vents" fut restauré et conservé à flot. A bord, vous découvrirez les différentes techniques de pêche, ainsi que la vie difficile des hommes de la mer.
- Le Musée de la Pêche vous présente l’histoire et l’évolution du port, ses conserveries, les techniques de pêche et les espèces capturées…
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