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    Photos plus petites, prises avec smartphone


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  • 24 heures photo chez Patricia : Veules-les-Roses

    24 heures photo chez Patricia

    Le plus petit fleuve de France coule tranquillement vers la mer 


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  • Pendant une semaine, j'ai entendu les clarines des vaches du Cantal et j'aimais beaucoup çà

     

    Le tableau du samedi géré par Lady Marianne

     

    Artiste de la montagne et de son patrimoine, je peins à l’écart de toute école. Cotée chez Drouot, je suis membre de la Société des Peintres de Montagne, association créée sous l’égide du Club alpin français. Je m'inspire essentiellement de la Vallée d’Abondance en Haute-Savoie, proche du lac Léman. Je me nomme Catherine HERBO.

    Peintre figurative, je m’attache à valoriser cette vallée, qui bénéficie du label «Pays et Villes d'art et d'histoire», par ses représentations du patrimoine religieux, des lumières, des paysages, de l’architecture traditionnelle et de la vie paysanne et agricole.

    Je souhaite enrichir progressivement ce nouveau site d'informations à caractère culturel et patrimonial en relation avec mes toiles, et vous remercie par avance pour votre contribution qui sera la bienvenue permettant une fréquente actualisation du contenu.

    Dorénavant installée à Abondance, dans le Chablais, je vous attends dans mon atelier situé au Chef-Lieu.

     

    j'aime ce peintre parce que c'est une femme qui peint sur toile de lin sur châssis. Celle de la vache fait 46 X 38

     


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    LE CHÂTEAU D'ANJONY

    (Cantal)

    XVème et XVIIème siècles

    15310 - Tournemire

    (à 23 km au nord d’Aurillac)

     

    Construit par Louis d'Anjony, compagnon de Jeanne d'Arc ayant reçu du Roi Charles VII mission de protéger les alentours, le donjon d'Anjony est toujours là, intact et fier, exemple très caractéristique des petites forteresses de montagne du XVème siècle.

    Son histoire fut tumultueuse aux XVème et XVIème siècles, car une véritable "vendetta" opposa la famille d'Anjony à celle des Tournemire, trop proches voisins et rivaux. Au XVIIIème on ajouta à l'austère construction médiévale, un corps de logis plus accueillant et plus conforme aux goûts de l'époque. Riches intérieurs décorés de remarquable fresques du XVIème et mobilier des diverses époques de la vie du château. La demeure est toujours habitée par la même famille depuis l'origine.

    Spécimen typique de l'architecture militaire du Moyen Âge, bien que construit autour de 1430. Donjon quadrangulaire flanqué de 4 tours rondes l'une d'entre elles renfermant un escalier hélicoïdal desservant l'ensemble du bâtiment. Il est couronné par un chemin de ronde sur les 4 faces et chaque tour possède le sien propre.

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    Nous n'avons pas pu le visiter parce qu'il aurait fallu venir un après-midi. Nous allions au Puy Mary, pour déjeuner et marcher ! Remarquez la brume qui est présente, l'après-midi est déjà compromise !


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  • Vic-sur-Cère est une ancienne cité gallo-romaine qui est aujourd'hui un lieu de séjour recherché en Auvergne. Elle est passée de station thermale à station climatique (au profit de Vichy). Mais il reste un filet d'eau, chaque pèlerin peut y remplir un verre, une gourde.

    Il reste peu de traces de son passé de ville d'eau, principalement son établissement thermal et aussi quelques fontaines. Comme celle-ci, ci-dessous, située près de la maison du Chevalier des Huttes, Rue Cavaroc.

     

     

    Maison du Chevalier des Huttes à Vic-sur-Cère (15)

    La maison de notable du XVIème siècle est située 4 passage du Chevalier des Huttes. Elle est visible Rue Cavaroc, à rive droite de la Cère. C'était la demeure urbaine de la famille Pagès des Huttes. Jérôme , garde du roi, émigra alors que son frère Jean-Baptiste périt le 6 Octobre 1789 en défendant Marie-Antoinette.

     


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    À l'origine du projet, l'idée d'un pont métallique à grand arc enjambant la vallée revient à un jeune ingénieur, Léon Boyer, né en 1851 et mort prématurément en 1886.

    C'est lui qui imposa l'idée d'un tracé direct de la voie ferrée sur les plateaux et un franchissement de la Truyère à grande hauteur (120 m au-dessus du niveau d'étiage), plutôt que la solution traditionnelle qui aurait consisté à descendre la ligne par les vallées affluentes pour franchir la Truyère par un ouvrage plus modeste, solution plus coûteuse en exploitation par la suite.

    Pour ce franchissement, il était exclu de recourir au pont suspendu, à cause des risques d'oscillations provoquées par le vent, et il était impossible d'envisager techniquement à l'époque des piles de plus de 65 m de haut. Léon Boyer s'est inspiré de l'exemple du viaduc Maria Pia sur le Douro (Portugal).

    Ce viaduc construit par la société Eiffel, avec notamment la participation des ingénieurs Maurice Koechlin et Emile Nouguier5, avait été conçu par un autre associé d'Eiffel, Théophile Seyrig, et inauguré en 1877. Il comporte un arc métallique de 160 m de portée, avec une flèche d'intrados de 37,50 m. 

    L'inauguration de la section de Saint-Chély à Saint-Flour via le viaduc de Garabit, a lieu le 28 mai 1888. La compagnie qui avait annoncé une importante cérémonie d'inauguration a finalement choisi de faire simple en attendant l'ouverture complète de la ligne jusqu'à Neussargues qui doit intervenir prochainement. Elle n'a donc prévu que le passage d'un train transportant messieurs Arnaud, inspecteur d'exploitation, et André inspecteur principal.

    Néanmoins le temps étant beau et pas trop chaud les habitants ont montré leur curiosité en venant en nombre aux deux gares extrêmes pour rejoindre à pied ou en train le site du viaduc que d'autre en nombre également ont préféré voir du fond de la vallée. Le train a traversé le viaduc à 50 km/h sans que ses passagers ne ressentent la moindre trépidation.

    Le viaduc est construit pour supporter une voie ferrée et relier Paris à Béziers par chemin de fer, en passant par le Massif central. C'est donc depuis plus d'un siècle que l'Aubrac Express — nom du train ayant circulé sur la voie — surplombe à chaque passage la vallée de la Truyère. Le viaduc dispose d'une caténaire et supporte une voie unique. La vitesse des trains circulant sur le viaduc est limitée à 40 km/h pour réduire les contraintes de l'ouvrage.

     


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    Enchâssée dans un ensemble architectural médiéval, son sol est couvert d'une immense reproduction de la pierre de Rosette (14 x 7 m), sculptée dans du granite noir du Zimbabwe par l'artiste conceptuel américain Joseph Kosuth. Inaugurée en avril 1991, cette importante œuvre contemporaine demande également à être contemplée depuis le jardin suspendu qui domine la place.

    Dans une courette attenante, la traduction en français des inscriptions est gravée sur une plaque de verre.

    L'écriture, une aventure humaine

    Les collections du musée Champollion racontent comment, il y a plus de 5000 ans, l’écriture est apparue en plusieurs endroits du monde : l’homme crée un système de signes dont l’organisation et les tracés permettent de rendre le langage et la pensée visibles.

    Les écritures ont ensuite voyagé, évolué au gré de la main des scribes. Certaines ont permis de s’adresser aux dieux, d’instaurer un pouvoir politique ou d’appréhender le monde. Beaucoup ont profité d’innovations technologiques telles que l’invention du livre, de l’imprimerie ou du numérique. 

    Aujourd’hui, on imagine difficilement se passer de ces signes tracés sur la pierre comme sur le sable, qui suppléent la parole et nous relient les uns aux autres.


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  • Bon dimanche à tous,

    Bon dimanche à tous,


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  • La voûte à caissons de bois peints, au XVIIème siècle de 1428 motifs naïfs tous différents. Fonds baptismaux du XVème siècle, 

    Eglise de Cheylade Xème siècle (Cantal)

    Eglise de Cheylade Xème siècle (Cantal)

    Eglise de Cheylade Xème siècle (Cantal)

    Eglise de Cheylade Xème siècle (Cantal)

    Eglise de Cheylade Xème siècle (Cantal)

     


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  • Les parapluies d'Aurillac

    Les parapluies d'Aurillac

    Les parapluies d'Aurillac

    Cliquez une ou deux fois pour connaître leur histoire


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    De 40,6 km de longueur, la Jordanne prend sa source sur la commune de Mandailles-Saint-Julien, à 1 665 mètres d'altitude sur les pentes sud du puy de Peyre-Arse (1 806 m), puis coule vers le sud-ouest dans la même direction que la vallée de la Cère, et après avoir parcouru une quarantaine de kilomètres, rejoint la Cère en rive droite à Arpajon-sur-Cère.

    La vallée commence par le cirque de Mandailles dominé circulairement par le Puy Chavaroche, le Puy Mary, le Puy de Peyre-Arse et le Puy de Bataillouse.

    La Jordanne surgit des hauts mamelons par deux sources différentes. Son cours pénètre immédiatement sous les ombres de la forêt de Rombières, et s'y grossit des eaux de plusieurs ruisseaux. À sa sortie, elle est déjà rivière ; on l'aperçoit palpitante aux premières flammes du soleil et glissant comme une couleuvre argentée.

    Au fur et à mesure de sa coulée vers Aurillac, le paysage change. Elle pénètre dans des gorges en aval du village de Saint-Julien. Là, elle coule dans un environnement sauvage de bois au fond d'un ravin de 20 à 60 m. de profondeur. Après 3 km la vallée s'ouvre au niveau du village de Saint-Cirgues-de-Jordanne. Sur cette commune de Saint-Cirgues-de-Jordanne, on peut l'admirer bondissante au Saut de la Menette. Puis, elle devient plus calme dans les plaines de Velzic.

    Elle entre à Aurillac qu'elle traverse, au niveau du quartier du Buis ; elle est retenue par une chaussée pour alimenter un lavoir aux 16 piliers de bois et un canal ayant servi aux tanneurs de la ville. Après avoir traversé le vieil Aurillac, elle entre dans les quartiers sud de la ville plus moderne. Afin de faciliter diverses constructions urbaines, son lit fut dévié à l'époque, au niveau de la « prairie de Sistrières ». La Jordanne longe la plaine des sports de La Ponétie - en rive gauche - pour finir son chemin dans la Cère sur la commune d'Arpajon-sur-Cère, à 586 mètres d'altitude et après le barrage Baradèl.

    Le cours supérieur de la Jordanne, correspondant à peu près à la moitié de son parcours, se déroule au sein du Parc naturel régional des Volcans d'Auvergne.

     


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