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  • "24 heures photo" chez Patricia 

    http://www.chemindetables.over-blog.com

     

    24 heures photo chez Patricia


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  • La lecture par Auguste Renoir

    Le tableau du samedi géré par Lady Marianne


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  •  Photographie de Milfontaines mais pas la roue

     

    Le Cailly est une rivière de Seine-Maritime, affluent de la Seine dans laquelle elle se jette à Rouen. Cours d'eau au débit régulier, le Cailly traverse deux zones tout à fait distinctes ; dans la partie amont, un espace peu urbanisé dominé par les activités agricoles, dans la partie aval, entre Malaunay et son embouchure, un ensemble totalement urbanisé, véritable rue d'agglomérations à vocation industrielle.

     

    La rivière a vu se développer, sur ses rives, à partir de la fin du xviiie siècle, une puissante industrie textile utilisant la force motrice de ses eaux. Véritable couloir d'usines, de filatures, d'ateliers de teinturerie, le cours inférieur du Cailly fut surnommé, au xixe siècle, la petite vallée de Manchester. Si, aujourd'hui, l'immense majorité de ces entreprises ont fermé, l'activité textile a marqué la vallée et des vestiges de ce patrimoine industriel peuvent être encore visibles, certains ont été préservés dans le cadre de musées comme celui de la Corderie Vallois à Notre-Dame-de-Bondeville.

     

    Le Cailly alimente la roue hydraulique

     


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    Les photos ont été prises sur Internet

    L'histoire de la corderie est étroitement liée à la vallée du Cailly qui a façonné le paysage économique de la région.

     

    L’industrie cotonnière s’y est installée dès le 18e siècle. Elle y bénéficiait de la présence de nombreux ports fluviaux et maritimes, dont celui de Rouen, véritables plates-formes commerciales pour les professionnels du textile.

     

    Au début du 18e siècle, la vallée se distingue déjà par ses activités. A partir de 1701, la demande de cotonnades devient si intense que les marchands et fabricants rouennais organisent la production en zone rurale, avec l'aide de la main d'œuvre campagnarde. Le nombre de travailleurs ruraux vivant du filage, de l'ourdissage et du tissage des cotonnades passe de 20 000 en 1730 à 100 000 à la fin du siècle.

    L’histoire du musée industriel de la Corderie Vallois remonte au 18e siècle. A l'origine, Jean Toussaint, un marchand de Darnétal, exploitait depuis 1759 un moulin à papier datant du 16e siècle.

     

    Achetée en 1819 par Charles-Désiré Fouquet, teinturier blanchisseur à Bapeaume, la propriété est modifiée dès 1821 par sa veuve, Marie-Rose Fouquet-Cuit, qui entreprend de lourds travaux. Un bâtiment de quatre étages à pans de bois, de 17,50 mètres de côté, est ainsi édifié le long de la rivière.

     

    En 1825, par ordonnance du roi Charles X en date du 18 janvier, l’autorisation lui est donnée de convertir en « moulin à coton » l’ancien moulin à papier. Les structures hydrauliques du moulin sont alors modifiées avec l'installation d'une roue géante d'un diamètre de 7,30 mètres et d'une largeur de 3,90 mètres.

     

    Le 9 août 1836, l'usine est rachetée par Edouard-Henri Rondeaux, indienneur à Bolbec. Après une reconversion temporaire en filature de laine, durant la crise cotonnière des années 1860, l'usine est transformée en corderie mécanique en 1880 par Jules Vallois, cordier à Saint Martin du Vivier.

     

    Elle fonctionnera jusqu’en 1978, date de sa fermeture.


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  • Clères

    cliquez sur la photo pour voir BB. Depuis de longues minutes nous voyons la scène : la paonne surveillait étroitement son petit, lui montrait quoi manger puis elle a décidé de traverser avec mille précautions

    Clères

     

    Clères

     

    Clères

     Vite, vite en file indienne nous allons manger, il est 16 heures !

    Clères


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  • La scabieuse

    La scabieuse


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