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Par milfontaines le 3 Mai 2018 à 07:16
l'abbaye de Jumièges
Ses tours blanches, qui s’élèvent à presque 50 mètres au fond d’une boucle de la Seine, créent toujours la surprise et l’admiration du visiteur. Sa destruction, au XIXe siècle, lui a valu le nom de «plus belle ruine de France» et l’image d’un site à ciel ouvert fortement marqué de romantisme.
L’abbaye de Jumièges est un des plus anciens et des plus importants monastères bénédictins de Normandie. S’il ne reste aucun vestige apparent de l’époque de sa fondation au VIIe siècle, sa visite est une traversée de 9 siècles d’architecture, du IXe au XVIIe siècle. L’abbatiale Notre-Dame, principale église de l’abbaye, en est le fleuron, et un exemple exceptionnel d’architecture romane normande.
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Par milfontaines le 27 Janvier 2018 à 07:34
"24 heures photo" chez Patricia
http://www.chemindetables.over-blog.com
La halle de Routot (département de l'Eure) date du XVIII ème siècle. Auparavant entièrement fermée, elle sert aujourd'hui à de nombreux événements. Et sert même de patinoire, pendant l'hiver.
Les deux petites photos ne sont pas de moi
Du glorieux passé de Routot, marché de bestiaux important dès le XIV ème siècle, il reste les piliers et le toît de la Halle centrale, sous lesquels se déroule depuis quatre ans cette " vente aux enchères" organisée par l'Association des Éleveurs de Bovins de Race Normande.
En ce début du mois d'août 2017, 14 génisses provenant de deux exploitations sont proposées à des prix allant de 1 200 € et 1 500 €. "J'arrive à l'âge de la retraite et je dois arrêter", explique Christian Leclert, éleveur à Beaumont-le-Hareng (Seine-Maritime). Il propose 10 génisses, la plupart âgées de 3 ans et prêtes à vêler. "Malheureusement, il n'y a pas de jeunes pour continuer, donc je viens pour trouver des acheteurs".
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Par milfontaines le 2 Janvier 2018 à 08:33
Une amie m'a offert un beau livre
Le photographe Jérôme Houyvet livre sa vision de la presqu’île du Cotentin.
La presqu’île possède une personnalité si singulière, qu'elle ne peut laisser quiconque indifférent. Ni celui qui la découvre pour la première fois, ni celui qui l'aime depuis toujours. Ses 350 kilomètres de littoral lui dessinent une silhouette élégante, balayée par les vents, dorée par les dunes et les plages de sable fin.
Jérôme Houyvet aime sa Normandie et celle-ci le lui rend bien. Pour cet ouvrage, l'arrière saison a eu la bonne idée de prolonger un été indien offrant des lumières et des palettes de couleurs inespérées ... Alors le photographe en a profité. Il a survolé et exploré, encore et encore, côté mer et côté terre, cette presqu'île du Cotentin, sauvage et préservée, qu'il affectionne tant. Résultat ! Des centaines de photos, toutes plus belles les unes que les autres, qui ont rendu l'exercice de la sélection plus difficile que jamais.
Le livre est accompagné de textes. Des textes de Stéphanie Montagne-Grésille qui aime lorsque « les mots entre eux composent une sorte de mélodie simple et fluide ». Le travail de Jérôme Houyvet répond parfaitement à son irrésistible envie d'écrire, surtout lorsque le voyage photographique l'emmène au-dessus de la Presqu'île du Cotentin, sa terre natale.
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Par milfontaines le 1 Janvier 2018 à 22:22
Nous n'étions que 3 ... il y a des réveillons comme çà ! J'ai régalé mes invités et nous nous sommes couchés qu'à 2 heures 30 après avoir parlé vacances, vacances, vacances.
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Par milfontaines le 31 Décembre 2017 à 08:21
Dernières courses ce matin ... j'ai oublié le pain, des tomates cerise ...
Je vais essayer de ne pas m'envoler !
Puis ensuite, je commencerai la popote, la décoration de la table
à l'année prochaine,
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Par milfontaines le 14 Septembre 2017 à 11:15
Récemment, le 6 septembre nous avons fêté une dame centenaire (une ancienne voisine)
Je lui ai offert des ... roses
et voici le gâteau !
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Par milfontaines le 24 Août 2017 à 09:00
Photographie de Milfontaines mais pas la roue
Le Cailly est une rivière de Seine-Maritime, affluent de la Seine dans laquelle elle se jette à Rouen. Cours d'eau au débit régulier, le Cailly traverse deux zones tout à fait distinctes ; dans la partie amont, un espace peu urbanisé dominé par les activités agricoles, dans la partie aval, entre Malaunay et son embouchure, un ensemble totalement urbanisé, véritable rue d'agglomérations à vocation industrielle.
La rivière a vu se développer, sur ses rives, à partir de la fin du xviiie siècle, une puissante industrie textile utilisant la force motrice de ses eaux. Véritable couloir d'usines, de filatures, d'ateliers de teinturerie, le cours inférieur du Cailly fut surnommé, au xixe siècle, la petite vallée de Manchester. Si, aujourd'hui, l'immense majorité de ces entreprises ont fermé, l'activité textile a marqué la vallée et des vestiges de ce patrimoine industriel peuvent être encore visibles, certains ont été préservés dans le cadre de musées comme celui de la Corderie Vallois à Notre-Dame-de-Bondeville.
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Par milfontaines le 24 Août 2017 à 08:28
Les photos ont été prises sur Internet
L'histoire de la corderie est étroitement liée à la vallée du Cailly qui a façonné le paysage économique de la région.
L’industrie cotonnière s’y est installée dès le 18e siècle. Elle y bénéficiait de la présence de nombreux ports fluviaux et maritimes, dont celui de Rouen, véritables plates-formes commerciales pour les professionnels du textile.
Au début du 18e siècle, la vallée se distingue déjà par ses activités. A partir de 1701, la demande de cotonnades devient si intense que les marchands et fabricants rouennais organisent la production en zone rurale, avec l'aide de la main d'œuvre campagnarde. Le nombre de travailleurs ruraux vivant du filage, de l'ourdissage et du tissage des cotonnades passe de 20 000 en 1730 à 100 000 à la fin du siècle.
L’histoire du musée industriel de la Corderie Vallois remonte au 18e siècle. A l'origine, Jean Toussaint, un marchand de Darnétal, exploitait depuis 1759 un moulin à papier datant du 16e siècle.
Achetée en 1819 par Charles-Désiré Fouquet, teinturier blanchisseur à Bapeaume, la propriété est modifiée dès 1821 par sa veuve, Marie-Rose Fouquet-Cuit, qui entreprend de lourds travaux. Un bâtiment de quatre étages à pans de bois, de 17,50 mètres de côté, est ainsi édifié le long de la rivière.
En 1825, par ordonnance du roi Charles X en date du 18 janvier, l’autorisation lui est donnée de convertir en « moulin à coton » l’ancien moulin à papier. Les structures hydrauliques du moulin sont alors modifiées avec l'installation d'une roue géante d'un diamètre de 7,30 mètres et d'une largeur de 3,90 mètres.
Le 9 août 1836, l'usine est rachetée par Edouard-Henri Rondeaux, indienneur à Bolbec. Après une reconversion temporaire en filature de laine, durant la crise cotonnière des années 1860, l'usine est transformée en corderie mécanique en 1880 par Jules Vallois, cordier à Saint Martin du Vivier.
Elle fonctionnera jusqu’en 1978, date de sa fermeture.
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