Un monsieur s'est insurgé hier en disant : "c'est de l'art çà ?" moi j'ai préféré sortir dans les jardins et j'ai vu des sculptures (indiqué par des doigts blancs) - cliquer 2 fois dessus, c'est l'artiste Nathalie Leroy Fiévée qui les a réalisées.

un labyrinthe en charmille. Le charme garde ses feuilles mortes sur les branches et dès que les nouvelles feuilles vertes se déplient, les autres fanées tomberont

demain matin, la suite du jardin ...

Château Le Breton, dû à l'architecte Lucien Lefort,

achevé en 1898, aujourd'hui propriété de la Matmut. Récemment des agents Matmut y travaillaient (communication). 

C'est une oeuvre ! Combien de billes en acier ?

c'est à ce moment-là que j'ai préféré faire la visite des jardins ... Nous avions pourtant un guide

très gentil et passionné !

L'édifice du XVIIe siècle est bâti sur l'ancien fief de Varengeville appartenant à l'abbaye de Jumièges et devient en 1887 la propriété de Gaston Le Breton (1945-1920), directeur des musées départementaux (musée des Antiquités, musée de la Céramique et musée des Beaux-Arts de Rouen). Après plusieurs périodes de transformations qui se succèdent de 1891 à 1898, peintres, sculpteurs, musiciens et compositeurs s'y retrouvent. Aujourd'hui, la chapelle, le petit pavillon de style Louis XIII et le fronton (où nous pouvons lire " Omnia pro arte ", " Tout pour l'art ") demeurent les témoignages de cette époque.

La galerie de 400 m² du Centre d'Art Contemporain de la Matmut est un lieu dédié aux expositions temporaires d'artistes émergents et confirmés, aux ateliers pour enfants, aux visites libres et guidées. Au rythme des saisons, dans le parc de 6 hectares, se dessine une rencontre entre art et paysage (arboretum, jardin japonais, roseraie).

L'accès est libre et ouvert à tous, petits et grands, amateurs ou connaisseurs... Le centre propose quatre expositions d'art contemporain par an.

Grâce à la Maison de la Terre, vous allez découvrir le patrimoine potier, tuilier et briquetier du Roumois : un savoir-faire traditionnel qui conditionna le quotidien de ce territoire et de ses habitants et qui conditionne encore aujourd'hui notre patrimoine architectural.

Une collection unique de 1 500 poteries traditionnelles et populaires permet également de présenter des expositions temporaires sur des thèmes variés : l'art de cuisiner, de recevoir, le bien-être, la décoration, le confort, l'art de vivre dans les régions de France au siècle passé. Mais le présent n'est pas oublié, avec régulièrement les œuvres de céramistes contemporains à découvrir.

Je suis allée visiter la maison de la terre à Bosc-Roger en Roumois (Haute-Normandie - Département de l'Eure). Une animation culturelle Jeunes Seniors de ma ville. Nous étions 12 !

Puis nous avons créer un dessous de plat en forme de feuille de chou. J'ai adoré !

un gros morceau d'argile noir

après avoir étalé l'argile comme une pâte à pizza, je positionne une vraie feuille de chou

j'ai passé le rouleau sur la feuille et voilà ce que çà donne dans l'argile

je l'ai découpée et peint en vert foncé, en vert clair puis je l'ai séchée au sèche-cheveux et disposée sur un endroit afin qu'elle sèche pendant 15 jours. Lors de la cuisson la montée en température est tout d'abord lente, environ 100°C par heure durant 5 heures, pour éliminer progressivement l'eau de constitution de l'argile et éviter l'éclatement des pièces.

Cette première cuisson ou cuisson du biscuit se poursuit ensuite à pleine puissance jusqu'à 900°C ! Ensuite elle sera vernie ...

Le résultat, vous le verrez à la fin du mois de novembre. 

Noms communs : fragon, petit houx.

Nom botanique : Ruscus aculeatus, famille des liliacées.

Noms anglais : butcher’s broom.

Partie utilisée : rhizome.

Habitat et origine : arbuste à feuilles persistantes, originaire des maquis du bassin méditerranéen, ayant colonisé une vaste région allant des Açores (au large du Portugal) à l’Iran. Espèce protégée à l’état sauvage. Les rhizomes des arbustes cultivés sont récoltés à l’automne lorsque leurs baies rouges sont à maturité.

Près de l'hôpital St Julien de ma ville ... une antiquité

Cliquez, zoomez sur la photo pour lire

 La maison de l'armateur Guillaume Ladiré dite maison Henri IV

 Cette maison fut construite en 1540. 

Les vaisseaux de Guillaume LADIRé allaient chercher au Brésil le précieux bois de braise dont on tirait la couleur rouge très appréciée à l'époque. Comme vous allez le voir, les sculptures de la façade, taillées dans le bois de chêne évoquent la vie et les moeurs des indigènes d'Amérique du Sud.

Il y avait une question sur le sigle SNSM on trouvait la réponse là ! La réponse précédente on pouvait la découvrir chez le shipchandler ... mais attention nous sommes au bord de la mer ! Quelle est la distance en miles pour aller à Fécamp ? sachant qu'un mile marin international vaut 1852 mètres.

Bon dimanche à tous